Si ACTARES salue, lors de l'assemblée générale de Novartis le 23 février 2012, la sauvegarde de bon nombres de postes de travail à Nyon et à Bâle, elle ne peut que critiquer le comportement de la firme, qui a pu être perçu comme un chantage, et regretter les dégâts engendrés. Par ailleurs, ACTARES soulève la question de l'externalisation à grande échelle des essais cliniques de Novartis. Le respect des droits des patientes et des patients n'est de cette manière plus garanti. Les doutes à ce sujet n'ont pas pu être levés jusqu'ici.
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